Je me rapelle de la fameuse opérette de Francis Lopez (1945) et chantée par Luis Mariano, La belle de Cadix. Je m'imaginais une grande et belle ville andalouse, somptueuse et magique. En fait, Cadix est une ville portuaire du sud de l'Espagne, à l'embouchure du Guadalquivir. Sans grand intérêt si ce n'est parce qu'elle est située sur une presqu'ile, on en a vite fait le tour. La distraction principale est la plage. Il y a bien une cathédrale datant du milieu du XIIIe siècle et quelques fortifications, mais comme dans toutes les cités en bord de mer. Son nom vient du phénicien "gadir" et les habitants sont appelés des "gaditanos".
Les touristes sont accueillis comme des américains et les prix sont trés ... "touristiques". Je crois que le sandwich que nous avons pris, stéphanie et moi, sur une grande place bordée de platanes, nous est resté sur l'estomac. Ce fût une bonne raison de se reposer et de lézarder sur une plage de sable fin saturée de bronseurs. Aprés avoir pris une bonne glace afin de nous rafraîchir, nous avons décidé de ne pas nous attarder et de partir pour Jerez de la Frontera.
